Présentation

Dans le cadre de l’évolution de ses missions de prospective, la direction pilote les travaux des groupes de travail de la Prospective de la CRE, assure une veille industrielle et accompagne les territoires dans leur capacité d’innovation locale, permettant de réfléchir sur la régulation de demain.

Les axes prospective et innovation et économique s’appuient sur le Conseil scientifique de la CRE. Le Conseil scientifique est une instance consultative qui a été installé par la Présidente de la CRE, Emmanuelle Wargon en mars 2023. Les membres sont nommés en leur nom propre par la Présidente de la CRE. Cette nomination veille à ce que les membres disposent des compétences et de l’expertise nécessaires pour répondre aux sollicitations du Conseil scientifique et que leurs éventuelles opinions et conflits d’intérêts sur les sujets traités soient connus des membres.

Composé d’universitaires, d’experts dans le domaine de l’énergie, de dirigeants de centres ou d’instituts de recherche, le Conseil scientifique est sollicité notamment pour la participation aux travaux de la CRE dans le cadre de ses activités de prospective, la contribution d’un ou des membres à un groupe de travail en tant que relecteur académique, ou encore la participation aux propositions de la CRE aux évolutions législatives et réglementaires en lien avec l’énergie.

Dernièrement, le Conseil scientifique a eu à se prononcer sur la contribution de la CRE à la stratégie française énergie-climat et sur le rapport de la CRE relatif au pilotage des bâtiments tertiaires.

L’intégration de ces activités au sein d’une direction permet notamment de répondre à l’ambition de fournir au Collège de la CRE des propositions visant à promouvoir et à accompagner les démarches d’innovation et de prospective, puis à les transcrire en analyses économiques et financières de haute exigence. Ces analyses contribueront à l’intérêt général en faveur du bon fonctionnement du système énergétique, du renforcement de la protection des consommateurs et de l’accélération de la transition écologique.

Cette ambition permet de combiner trois temporalités. Tout d’abord une projection à long terme à travers l’identification, la promotion et l'accompagnement des démarches d’innovation et de prospective sur les plans techniques, industriels et économiques. Ensuite, une traduction à moyen terme visant à proposer une réflexion économique permettant la mise en place d’un cadre de régulation adapté. Enfin, une mise en œuvre à court terme afin de proposer des déclinaisons concrètes et opérationnelles puis une analyse et un suivi financier dans le temps.

Pour nourrir ses travaux, la Direction s’appuie également sur ses relations avec le monde industriel.

L’axe financier vise à ce que la direction apporte son expertise financière à l’ensemble des travaux de la CRE en matière financière. Cela comprend le suivi et l’analyse financière des activités des acteurs du marché ainsi que l’apport de la direction à l’ensemble des équipes de la CRE d’une expertise sur tout sujet de nature financière, singulièrement sur le coût du capital, l’évaluation financière de grands projets et la comptabilité des opérateurs.

Composition des membres du Conseil scientifique de la CRE au 1er décembre 2024 :

  • Patrice GEOFFRON – Professeur de Sciences Économiques à l’Université de Paris Dauphine-PSL et Directeur du Centre de Géopolitique de l'Énergie et des Matières Premières (CGEMP)
  • Frédéric GONAND – Professeur d’Économie à l’Université de Paris Dauphine-PSL
  • Nadia MAÏZI – Professeur à Mines ParisTech et Directrice du Centre de Mathématiques Appliquées (CMA)
  • Carine STAROPOLI – Professeur au Centre d’économie de Paris-Sorbone
  • Olivier APPERT – Membre de l’Académie des technologies
  • Valérie FAUDON – Déléguée Générale de la Société française d’énergie nucléaire (SFEN)
  • Pierre-Franck CHEVET – Président de l’IFP Énergies nouvelles (IFPEN)
  • Laurence PIKETTY – Administratrice Générale adjointe au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
  • Michel COLOMBIER – Directeur scientifique à l’Institut du Développement Durable et des Relations Internationales (IDDRI)
  • Monique AXELOS – Directrice scientifique Alimentation et Bioéconomie à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE)
  • Claude ARNAUD – Président d’Efficacity
  • Hubert de La GRANDIÈRE – Directeur Général de SuperGrid Institute
  • Emmanuelle GARNAUD GAMACHE – Directrice Générale de b<>com
  • Jean-Michel GLACHANT – Président de l’International Association for Energy Economics (IAEE) et Professeur à la Florence School of Regulation
  • Anne VARET – Directrice Exécutive adjointe à l’Agence de la transition écologique (Ademe)
  • Cécile MAISONNEUVE – Senior fellow à l’Institut Montaigne et Présidente de Decysive
  • Madeleine LAFON – Déléguée Générale de France Gaz
  • Jean-Luc FUGIT – Vice-Président de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) et Président du Conseil supérieur de l’énergie (CSE)
  • Mathias LAFFONT – Délégué Général adjoint à l’Union Française de l’Électricité (UFE)

Groupes de travail

Le groupe de travail sur l’insertion des petits réacteurs modulaires (SMR et AMR) dans les systèmes énergétiques 

La CRE a lancé le 29 avril 2024 un nouveau groupe de travail sur « l’insertion des petits réacteurs modulaires (SMR et AMR) dans les systèmes énergétiques ». Le groupe de travail est co-présidé par Anne-Marie CHOHO, Directrice Générale de SETEC et François LÉVÊQUE, Professeur d’économie au Centre d’économie industrielle (CERNA) de Mines Paris – PSL.

Dans un contexte de relance du nucléaire, le secteur a vu émerger des projets sur les réacteurs de nouvelles générations (Small Modular Reactor – SMR et Advanced Modular Reactor – AMR) portés par des start-up et entreprises françaises et internationales. Cette nouvelle technologie implique un nouveau modèle de développement pour ces réacteurs de plus petites tailles et puissances. Porteuse de promesses, cette innovation demeure en cours de développement tout en ayant pour objectif un déploiement à grande échelle dans un délai de cinq à dix ans. Dans cet horizon, la filière devra répondre aux incertitudes persistantes autour de son modèle économique et industriel, et de son intégration au système énergétique actuel.

Ce groupe de travail sera également l’occasion d’évaluer l’impact des SMR sur les systèmes électriques et les réseaux de chaleur. Ces travaux donneront lieu à un rapport validé par le Conseil Scientifique de la CRE et permettront de définir un cadre de développement de la filière et de contribuer à l’évolution potentielle des missions du régulateur.

Pour en savoir plus, consulter notre actualité du 29/04/2024

Le rapport du groupe de travail sur le captage et la chaîne de valeur du dioxyde de carbone

Le rapport sur « le captage et la chaîne de valeur du dioxyde de carbone », à l’initiative de la Prospective de la CRE, identifie les enjeux du déploiement du CCUS (Captage, Stockage et Valorisation du Carbone, en anglais) et évalue non seulement son rôle dans la décarbonation mais également son concours à la réindustrialisation de la France et à la consolidation de sa souveraineté. Le groupe de travail a été co-présidé par Jean-Michel GLACHANT, ancien directeur de la Florence school of regulation et Président de l’association internationale des économistes de l’énergie (AIEE) et Manoëlle LEPOUTRE-SAINT M’LEUX, Présidente du comité stratégique et RSE d’Eramet et vice-présidente de l’Académie des technologies.

Une centaine de parties prenantes ont participé aux travaux (auditions, visites de terrain, ateliers) et ont contribué aux réflexions et arbitrages importants. Ils étaient également accompagnés d’un rapporteur du Conseil d’Etat, Sébastien FERRARI.

Le groupe de travail confirme le rôle essentiel que peut tenir le CCUS dans la décarbonation comme dans le soutien à la réindustrialisation de notre pays, en complément des autres leviers accomplissant aussi ce rôle et qu’il faut privilégier : le déploiement de sources et de vecteurs d’énergie décarbonés, l’efficacité énergétique et la sobriété. Il propose dans cette perspective d’instaurer un cadre de régulation souple et flexible des chaînes de CCUS et de renforcer les moyens au soutien de la filière, en vue de créer les conditions d’une accélération de leur déploiement.

Pour en savoir plus, consulter notre actualité du 30/09/2024

Consulter le rapport

Le rapport du groupe de travail sur le pilotage des bâtiments tertiaires

La CRE a publié le 11 septembre 2023 un rapport, co-piloté par Laurent BATAILLE, Président de Schneider Electric France, sur le pilotage énergétique des bâtiments tertiaires.

Ce rapport issu d’une mission flash lancée par la CRE avec l’ensemble des acteurs de la filière offre une vision stratégique pour transformer les bâtiments tertiaires en acteurs clés de la transition énergétique. Ses recommandations contribuent au renforcement des niveaux d’efficacité énergétique et de flexibilité dans les grands bâtiments tertiaires. 

L’urgence climatique impose une transformation profonde et rapide de notre système énergétique. L’augmentation de la part des énergies renouvelables électriques dans le mix et les économies d’énergie sont des réponses pour atteindre la neutralité carbone. Face à ces enjeux, la maîtrise de la consommation énergétique et la flexibilité doivent être déployées dans tous les secteurs et en particulier au sein des bâtiments tertiaires. En effet, seuls 6 % des bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m² sont équipés de systèmes de pilotage de la consommation, et parmi les bâtiments équipés certains n’utilisent pas systématiquement leur potentiel. Or en combinant leur déploiement et leur utilisation nous pourrions mobiliser jusqu’à 6 GW en période de pointe.

Le renforcement des solutions de pilotage dans les bâtiments tertiaires représenterait un gisement conséquent d’économies d’énergie et permettrait de mettre les bâtiments tertiaires au service de la sobriété et de la flexibilité du réseau électrique afin à la fois de « consommer moins » et de « consommer mieux ».

Dans cet objectif, le rapport identifie les obstacles à ce déploiement et recommande des solutions concrètes pour y remédier à travers des leviers règlementaires et organisationnels.

  • Il est nécessaire de diffuser la culture de la gestion de l’énergie dans l’ensemble de la filière afin d’accélérer et de fluidifier la mise en place et l’utilisation des systèmes de pilotage. Cela consiste notamment à renforcer la communication sur le décret BACS (Building Automation & Control Systems), à en assurer le suivi de son exécution par la mise en place d’un tableau de bord dédié, à généraliser des bonnes pratiques mises en place et à accompagner financièrement et de manière ciblée les acteurs.

  • Il convient d’activer la flexibilité électrique des bâtiments tertiaires via l’amélioration des pratiques : systématiser la gestion de la flexibilité dans les systèmes de pilotage, paramétrer un mode « EcoWatt d’urgence », faire évoluer le cadre réglementaire actuel, développer des protocoles d’échanges de données amont/aval et assurer l’interopérabilité des systèmes.

  • Enfin, il faut intégrer la valorisation économique dans le choix de la flexibilité pour la rendre attractive et accessible. Cela doit passer par l’approfondissement des expérimentations en cours par les opérateurs et l’intégration aux contrats/offres de fourniture d’électricité de la flexibilité et la bidirectionnalité.

Pour en savoir plus, consulter notre actualité du 11/09/2023


Précédentes saisons


 

Saison 4 : Le comité de prospective continue à préparer l'avenir du secteur énergétique

Cette 4ème saison a réuni plus de 150 acteurs du secteur. Entre février et décembre, 25 séances de travail, près de 75 auditions et 2 déplacements en région ont été organisés pour rédiger les conclusions des rapports. Ces travaux ont aussi été marqués par la crise du secteur de l’énergie dont les conséquences ont été intégrées dans les travaux des groupes de travail. Les travaux ont donné lieu à la remise de trois rapports, à la signature des co-présidents, et à une restitution publique qui a eu lieu, le 17 mars 2023.

Les trois rapports des groupes de travail

Le premier rapport sur « La biomasse et la neutralité carbone » propose une méthodologie de hiérarchisation des usages de la biomasse dans le cadre de l’atteinte de la neutralité carbone en 2050. Ce groupe de travail a été co-présidé par Monique AXELOS, Directrice scientifique Alimentation et Bioéconomie de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE), et Patrice GEOFFRON, Professeur de sciences économiques à l’Université Paris Dauphine-PSL et Directeur du Centre de géopolitique de l’énergie et des matières premières.

Le deuxième rapport sur « L’électrification des usages » identifie les leviers et les freins potentiels de la réussite de l’électrification en France, avec une attention particulière pour le secteur de l’industrie. Ce groupe de travail a été co-présidé par Hélène MACELA-GOUIN, Vice-Présidente Secure Power de Schneider Electric France, et Jean-Michel GLACHANT, Directeur de la Florence School of Regulation (FSR).

Le troisième rapport propose différents outils, non tarifaires, pour renforcer l’adhésion des consommateurs résidentiels dans les objectifs de transition écologique et ce faisant, généraliser les nouveaux services leur permettant de s’approprier et maîtriser leurs consommations énergétiques. Ce groupe de travail a été co-présidé par Céline JULLIEN, Économiste et spécialiste de l’engagement citoyen, et Philippe MONLOUBOU, ancien Président du Directoire d’Enedis et ancien Président de Think Smartgrids.

Pour en savoir plus, consulter notre actualité du 17/03/2023.

Saison 3 : L'industrie française et l'appropriation citoyenne de la transition énergétique

Pour sa troisième saison, le Comité de prospective a eu pour ambition de se doter d’une vision sociotechnique globale, allant de l’infrastructure à l’usager, pour appréhender les évolutions du secteur de l’énergie. La troisième saison a été marquée par deux fils conducteurs, « l’industrie française » et « l’appropriation citoyenne de la transition énergétique » qui ancrent ses travaux au niveau du territoire.

Le premier volet « industrie française » s’axe sur les atouts du tissu économique national qui participent à faire de la transition énergétique une opportunité pour la compétitivité française, l’emploi et le dynamisme territorial.

Le second volet « appropriation de la transition énergétique » s’appuie sur des travaux en sciences humaines et sociales, sur l’expertise d’institutions publiques telle que la Commission nationale du débat public et sur les mécanismes financiers favorables à la participation des citoyens.

Les quatre rapports des groupes de travail

Le premier rapport est consacré aux « Énergies marines ». Ces énergies présentent un réel enjeu industriel pour la France qui bénéficie d’un positionnement technologique et stratégique de choix accompagné de nombreux gisements. Ce groupe de travail a été co-présidé par Marc LAFOSSE, Président d’Énergie de la Lune et Président de la Commission énergies marines du Syndicat des énergies renouvelables (SER), et Hugh BAILEY, Directeur général de General Electric France, sur délégation de Jérôme PÉCRESSE, Président et CEO de General Electric Renewable Energy.

Le deuxième rapport traite de la transition énergétique dans les territoires sous l’angle des « Nouveaux rôles et les nouveaux modèles ». Il présente la capacité des collectivités territoriales à innover dans le domaine de l’énergie pour accompagner sa transition. Ce groupe de travail a été co-présidé par Claude ARNAUD, Président de l’Institut de Recherche & Développement Efficacity, et Bernard BOUCAULT, Préfet honoraire de région.

Le troisième rapport interroge les modalités de la récolte, du stockage et de l’analyse des données énergétiques individuelles qui participent à « Donner du sens aux données du consommateur ». Ce groupe de travail a été co-présidé par Cécile MAISONNEUVE, Présidente de la Fabrique de la Cité, et Fabien CHONÉ, Président de Fabelsi.

Le quatrième rapport est consacré au « Vecteur hydrogène ». La production d’hydrogène représente près de 3 % des émissions de CO2 en France et dans le monde. Le rapport formule un certain nombre de recommandations pour développer l’hydrogène bas-carbone, évaluer son potentiel tout en tenant compte de ses impacts sur le système énergétique : il préconise par exemple d’adopter une position de neutralité technologique sur les différentes formes d’hydrogène décarboné et de cibler le soutien au développement de l’hydrogène vers les usages les plus mûrs. Ce groupe de travail a été co-présidé par Olivier APPERT, Membre de l’Académie des technologies, et Patrice GEOFFRON, Professeur de sciences économiques à l’Université Paris Dauphine-PSL et Directeur du Centre de géopolitique de l’énergie et des matières premières (CGMEP).

Retrouver les rapports de la saison 3

Saison 2 : La décentralisation énergétique

La saison 2 du Comité de prospective a été marquée par des travaux orientés sur les enjeux de la décentralisation énergétique.

Les trois rapports des groupes de travail

Le premier rapport consacré au « Verdissement du gaz » présente les perspectives d’évolution de la filière méthanisation, associée au modèle économique agricole, de la pyrogazéification, du power-to-gas et de la capture et au stockage du carbone. Ce groupe de travail a été co-présidé par Olivier APPERT, Membre de l’Académie des technologies, et Philippe MAUGUIN, Président-Directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA).

Le deuxième rapport traite de la transition énergétique dans les territoires sous l’angle des « Nouveaux rôles et les nouveaux modèles ». Il présente la capacité des collectivités territoriales à innover dans le domaine de l’énergie pour accompagner sa transition. Ce groupe de travail a été co-présidé par Frédéric GONAND, Professeur d’économie à l’Université Paris Dauphine-PSL, et Bernard BOUCAULT, Préfet honoraire de région.

Le troisième rapport interroge les modalités de la récolte, du stockage et de l’analyse des données énergétiques individuelles qui participent à « Donner du sens aux données du consommateur ». Ce groupe de travail a été co-présidé par Cécile MAISONNEUVE, Présidente de la Fabrique de la Cité, et Fabien CHONÉ, Co-fondateur de Direct Énergie.

Retrouver les rapports de la saison 2

Saison 1 : Les premiers travaux du comité de prospective

Pour la première saison, les thèmes des groupes de travail ont été choisis par les membres du groupe de pilotage et ont donné lieu à la présentation de trois rapports.

Les trois rapports des groupes de travail

Le premier rapport traite de l’évolution du mix énergétique, devenu un objet crucial de politique publique qui interroge l’avenir du secteur pour l’équilibrage entre les différentes sources d’énergie. La réflexion a particulièrement été orientée sur « L’impact de la mobilité propre sur le mix énergétique » (véhicule électrique, véhicules au GNV ou au bioGNV) et ses conséquences pour les systèmes énergétiques. Ce groupe de travail a été co-présidé par Olivier APPERT, Président du Conseil français de l’énergie, et Olivier PÉROT, Président de France Énergie Éolienne (FEE).

Le deuxième rapport, consacré aux réseaux d’énergie, a principalement porté son attention sur « La flexibilité et le stockage sur les réseaux d’énergie d’ici 2030 ». Il questionne l’intégration des énergies renouvelables et ses conséquences sur l’investissement et les mécanismes de gestion des réseaux. Ce groupe de travail a été co-présidé par Frédéric GONAND, Professeur d’économie à l’Université Paris Dauphine-PSL, et Ghislain LESCUYER, Président de Saft.

Le troisième rapport présente les liens existants entre révolutions numériques et consommation pour identifier comment le consommateur acquiert le pouvoir d’agir sur sa consommation énergétique et de s’engager pleinement dans la transition énergétique. Ce groupe de travail a été co-présidé par Cécile MAISONNEUVE, Présidente de la Fabrique de la Cité, et Jean BERGOUGNOUX, Président d’Équilibre des énergies (EdEn).

Retrouver les rapports de la saison 1

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